Jack Ma revient avec une stratégie qui tranche avec ses prises de position passées. Son fonds Yunfeng Financial dirige des investissements vers Ethereum et la DeFi, avec près de 41 millions d’euros engagés. Au centre du dispositif se trouve Anthea Holding, une assurance-vie on-chain. La dynamique s’inscrit dans un mouvement plus large de tokenisation des actifs réels. Dans l’ombre, des projets plus joueurs comme Pepenode attirent une communauté friande d’expériences. Un récit financier, mais aussi culturel. Et une question simple se pose. Ce tournant vers Ethereum annonce-t-il une nouvelle ère pour l’assurance, l’épargne et les paiements ?
Jack Ma : de la prudence crypto à l’investissement massif dans Ethereum
Avant de plonger dans les chiffres, un détour par le contexte aide à lire ce virage sans cliché.
Un revirement assumé et une réserve stratégique d’ETH
Jack Ma s’était montré méfiant face aux cryptomonnaies. Le discours évolue avec les faits. Yunfeng Financial investit environ 41 millions d’euros dans Ethereum, via l’achat de 10 000 ETH. Le signal paraît clair pour les marchés. La blockchain prend rang d’infrastructure pour la finance programmable.
Un autre jalon s’ajoute. Yunfeng a mené une levée d’environ 20,7 millions d’euros pour Anthea Holding. Cette jeune pousse s’appuie sur Ethereum pour bâtir ses garanties.
Le quotidien donne des repères. Une indemnisation d’assurance peut prendre des semaines. Un contrat sur chaîne réduit les frictions. Les flux deviennent traçables. Les délais se compriment.
Une note d’ambiance circule déjà sur X. Le compte @rovercrc s’interroge sur cette réserve d’ETH. Le message pointe une tendance lourde.
Anthea Holding, assurance sur chaîne et garanties transparentes
Anthea Holding propose une assurance-vie gérée sur Ethereum. Les paiements se règlent en ETH. Les garanties se lisent sur chaîne. L’entreprise promet une transparence native, sans paperasse excessive.
Le PDG Alex Pei résume l’intention. Apporter à l’assurance l’élan que la DeFi a donné aux marchés. Cela reste ambitieux, mais lisible. Les contrats deviennent audités par le code. Les engagements se mesurent en temps réel.
- Contrats visibles par tous, 24h sur 24.
- Versements en ETH, avec suivi public des flux.
- Logique de réserve tokenisée pour les garanties.
Une veille dédiée peut aider les épargnants qui observent la montée des assurances sur chaîne. Un contact avec un conseiller reste aussi un repère utile.
Ethereum : la nouvelle infrastructure de la finance mondiale
Cette trajectoire ouvre une autre question avant d’aborder la tokenisation : qui adopte Ethereum à grande échelle
La tokenisation des actifs réels accélère dans l’ombre des géants
Le pari ne vise pas la spéculation courte. La thèse met Ethereum au centre de la tokenisation patrimoniale. Des acteurs comme BlackRock ou Société Générale testent déjà des briques similaires. L’assurance, la gestion d’actifs et les paiements y trouvent des cas d’usage.
Un immeuble peut être fractionné en jetons. Un fonds monétaire peut publier sa trésorerie en temps réel. Un paiement d’indemnité devient programmable. Le tout sans rupture d’audit.
- Moins d’intermédiaires et des coûts plus lisibles.
- Suivi des flux, avec preuve de liquidité.
- Interopérabilité entre services et portefeuilles.
Pour suivre le sujet, une alerte info sur la tokenisation peut structurer une veille longue. Les rapports publics des émetteurs offrent des bases solides.
Retour mesuré, licences réglementées et Web3 sous contrôle
Yunfeng Financial, coté à Hong Kong, détient des licences pour l’assurance et la gestion d’actifs. Cette position autorise un pas vers la DeFi sans s’exposer à des angles morts réglementaires.
Le calendrier politique de la tech chinoise reste un arrière-plan. Le signal envoyé par Jack Ma garde une portée internationale. La finance programmable avance, par itérations, et non par slogans. Ethereum apparaît comme une base technique crédible pour ces chantiers.
Pour un lecteur attentif, une question demeure. Que change cette transition pour l’épargne de long terme ?
Pepenode : miner des memecoins sans outil de minage, c’est possible
Avant de détailler le modèle, une parenthèse s’impose entre finance sérieuse et culture web.
Un modèle mine to earn, entre staking et puissance de hachage
Pepenode propose un minage virtuel de memecoins comme PEPE ou FARTCOIN. Les utilisateurs achètent des nœuds numériques. Une salle de serveurs virtuelle se construit pas à pas. La puissance de hachage augmente par combinaison des nœuds.
À chaque amélioration, 70 % des jetons utilisés sont brûlés. L’offre baisse, la rareté grimpe. Le modèle hybride se situe entre staking et minage matériel. L’attrait tient à l’interaction et à la simplicité d’usage.
- Nœuds virtuels évolutifs et gains liés à l’activité.
- Mécanique de burn pour une rareté programmée.
- Récompenses modulées par la progression du profil.
Un investisseur curieux peut comparer ce modèle à un jeu de gestion. Une stratégie se construit, pas à pas, au fil des mises à niveau. Tous les ingrédients de l’une des nouvelles préventes memecoins les plus convoitées de l’année.
Prévente, prix en euros et dynamique communautaire
La prévente est en cours sur pepenode.io. Le token PEPENODE s’affiche autour de 0,0010 euro. Les montants levés approchent le million d’euros. Les premiers porteurs peuvent placer leurs allocations pour activer un multiplicateur de gains.
L’ensemble mise sur une mécanique de burn et une expérience gamifiée. Une trajectoire vers 2025 est envisagée par la communauté. Ethereum reste ici en arrière-plan, comme socle culturel du Web3.
Pour surveiller l’élan, une inscription aux canaux publics de Pepenode peut apporter un fil d’actualité utile. Les pages officielles publient les étapes clés sans fioritures.
Mise en garde: Les actifs numériques présentent des risques de perte en capital. Une information indépendante et un avis professionnel peuvent aider avant tout engagement.