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ACCGN a basculé en affaire d’escroquerie d’ampleur. Dès le 22 septembre 2025, l’Autorité des marchés financiers (AMF) a placé les domaines du service sur liste noire. Le chiffre public le plus solide reste la plainte collective de 125 victimes en France. Le schéma est classique avec des retraits bloqués, puis “taxe” de 120 USDT exigée.
Ce que l’on sait, sans enjoliver
L’AMF a inscrit acc.accgn.net puis acc.accgn.com sur sa liste noire, rappelant que la plateforme n’était pas autorisée à fournir des services financiers en France. C’est la base réglementaire la plus robuste à ce jour et elle fait office de ligne rouge pour les investisseurs.
Sur le terrain judiciaire, une étape clé est intervenue la semaine du 21 octobre. Un avocat lyonnais a déposé une plainte collective au PNF pour 125 victimes françaises, information confirmée par la presse régionale et économique. Le Progrès détaille notamment le dépôt et livre des témoignages précis, utiles pour cerner l’ampleur micro des pertes.
Côté montants, La Dépêche rapporte la position de l’avocat. Un préjudice cumulé de “plusieurs centaines de milliers d’euros” pour ce groupe de plaignants. C’est un plancher public, consolidé, prudent. À l’autre bout du spectre, des messages sur les réseaux sociaux évoquent un total supérieur à 18 M€, mais sans validation judiciaire ni document de référence. À ce stade, il faut présenter cette donnée comme une allégation, pas comme un bilan officiel.
Le dernier point factuel crucial est le paiement exigé de 120 USDT pour “débloquer” les retraits. On est ici dans le scénario type d’arnaque au recouvrement, où l’escroc tente un second prélèvement après avoir gelé les fonds.
🇫🇷 📺 Le 20h sur France télévision parle de l'arnaque AccGn.
Un témoignage d'une personne, «directeur regional», «un pizzaiolo devenu conseiller financier», qui a fait rentrer plus de 800 personnes dans ce scam.
«Pour moi c'était réel et c'était pas une arnaque. J'y croyais… pic.twitter.com/Uva2F9NCyP
— Goku 🗞 (@Crypto__Goku) October 21, 2025
Comment le piège s’est refermé
Le procédé a d’abord offert une illusion de rendement. Des bénéfices réguliers, des chiffres ronds, une interface qui laisse croire que le capital grossit tout seul. Puis le frein. Un premier retrait passé, un deuxième tard, le troisième blocage. Peu à peu, la plateforme inverse la charge de la preuve. C’est à l’utilisateur de payer une “taxe” pour récupérer son propre argent.
Ce mécanisme s’alimente de biais bien connu. La preuve sociale (« les autres gagnent, pourquoi pas moi ? »), l’engagement progressif (petit dépôt au départ, montants plus lourds ensuite), et enfin la pression temporelle (« dernier créneau pour débloquer »). Quand l’AMF classe un acteur en liste noire, ces signaux cognitifs devraient s’effacer sur-le-champ. En pratique, la promesse d’une délivrance « à 120 USDT près » agit comme un dernier hameçon.
Le résultat, on le voit dans les témoignages. Des pertes fragmentées mais nombreuses. Quelques milliers d’euros ici, quelques dizaines de milliers là. Assez pour ruiner les ménages. Trop diffus pour être immédiatement chiffrable à l’échelle nationale. D’où l’importance de s’en tenir à la borne basse corroborée et d’attendre les suites de l’enquête pour un total consolidé.
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Conclusion
Par ailleurs, apprenez l’ergonomie douce, la récupération via compte secondaire ou phrase, et l’accessibilité mobile réduisent les erreurs opérationnelles. Il faut aussi transformer l’émotion en méthode. Centraliser ses actifs dans un portefeuille réputé non custodial. Compartimenter ses expositions. Ne jamais confondre interface rassurante et droit de propriété. ACCGN aura fait des dégâts. Mais c’est aussi un rappel utile. En crypto, celui qui possède la clé possède la monnaie. Et celui qui délègue sans vérification s’expose, tôt ou tard, à payer deux fois.