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Changpeng Zhao, ex-patron de Binance, aurait payé Donald Trump en Bitcoin pour obtenir sa grâce présidentielle. À ce stade, rien ne permet de l’affirmer. Mieux, l’avocat personnel de CZ dément fermement toute opération de ce type. Par ailleurs, il dénonce un emballement médiatique autour de la grâce.
Rumeur de paiement en BTC
Teresa Goody Guillen a posé le ton. Selon elle, il n’y a eu ni caisse noire en bitcoin, ni portefeuille secret de Trump alimenté par CZ. Pas donc de deal caché conditionnant la grâce présidentielle. Elle parle de rumeurs sans base factuelle, qui recyclent des éléments sortis de leur contexte.
La thèse du paiement en Bitcoin s’est pourtant installée dans l’imaginaire crypto. Elle s’appuie sur un faisceau de coïncidences. La proximité indiquée de Trump avec l’industrie, la mise en avant de projets comme World Liberty Financial et son stablecoin USD-1, déployé notamment sur la BNB Chain, ou encore les liens supposés entre l’entourage de CZ et certains acteurs proches de la Maison-Blanche.
🚨 CZ’s Lawyer Speaks Out:
Teresa Goody Guillén says media claims about Binance being a “Trump company” and bribing officials are based on a fundamental misunderstanding of how businesses and blockchains work.
She adds: “Paying in Swiss francs doesn’t mean you’re bribing Swiss… pic.twitter.com/qsgFDJuHmM
— The Crypto Times (@CryptoTimes_io) November 21, 2025
Pompliano va jusqu’à poser la question frontalement. Et si Trump détenait un portefeuille Bitcoin discret, alimenté par Binance ou CZ lui-même ? L’avocat répond qu’elle connaît CZ et que ce scénario ne correspond en rien à sa façon de faire. Autrement dit, pour le camp Zhao, le débat est clos. Aucune preuve, aucun transfert secret vers Trump, aucun « pay-to-play » en BTC.
Une grâce au cœur de la guerre politique autour des cryptos
Pour comprendre pourquoi la rumeur prend autant, il faut revenir à la nature même du dossier CZ. L’ex-PDG de Binance n’a pas été condamné pour fraude ou blanchiment, mais pour ne pas avoir mis en place un dispositif de conformité anti-blanchiment jugé suffisant. Une infraction qualifiée de réglementaire, sans victimes identifiées ni montage criminel démontré, rappelle son avocate.
Trump, de son côté, justifie sa grâce en raison que ce type de manquement ne relève pas, selon lui, du pénal. La Maison-Blanche présente même CZ comme un dommage collatéral de l’ancienne « guerre contre la crypto » causée par l’administration précédente. De quoi faire bondir la sénatrice Elizabeth Warren, qui dénonce une décision de pure connivence politique et accuse CZ d’avoir soutenu les intérêts crypto du président en échange de sa liberté.
Dans ce climat d’hostilité croissant, plusieurs textes de loi apparaissent pour encadrer, voire interdire, la détention de cryptos par les plus hauts responsables politiques. Le « Stop TRUMP in Crypto Act of 2025 » veut notamment bloquer les memecoins et schémas personnels liés au président, tout en interdisant aux futurs élus de s’exposer aux mêmes conflits d’intérêts. La grâce de CZ devient ainsi un symbole : celui d’une frontière floue entre pouvoir politique, marchés financiers et actifs numériques.
Une mécanique de « pay-to-play » difficile à prouver
Face à ce narratif, Teresa Goody Guillen parle d’un « empilement de fausses affirmations, de déformations et de suppositions ». Elle vise en particulier ces articles qui citent d’autres articles, eux-mêmes exploités sur des sources anonymes, jusqu’à produire une impression de vérité par simple répétition. Un schéma bien connu dans les cycles de panique crypto, où les rumeurs circulent plus vite que les faits.
Elle insiste aussi sur un point souvent effacé du débat. Binance et CZ ont été sanctionnés pour des manquements de conformité, mais sans condamnation pour blanchiment d’argent. Répéter l’inverse, explique-t-elle, revient à leur attribution un casier pénal qui n’existe pas, ce qui alimente l’idée d’un pardon d’un grand criminel contre services rendus.
En outre, CZ n’est pas le seul acteur crypto à avoir retenu d’une grâce. L’ancien PDG de BitMEX, Arthur Hayes, ainsi que Ross Ulbricht, fondateur de Silk Road, ont également vu leur situation pénale profondément révisée.
On peut donc y voir autant un repositionnement politique de Trump en champion de la liberté crypto qu’un supposé échange direct en bitcoin. Faute d’éléments concrets, la mécanique de « pay-to-play » reste pour l’instant une hypothèse médiatique, pas un fait établi.
Pendant que la polémique enfle, Bitcoin Hyper ($HYPER) avance sans scandale

En même temps que la galaxie Trump-CZ monopolise les manchettes, d’autres projets crypto progressent loin des accusations de corruption. C’est le cas de Bitcoin Hyper ($HYPER), pensé dès le départ comme la brique centrale d’un écosystème plutôt que comme un simple jeton spéculatif. Fait intéressant, certains investisseurs le comparent déjà à la dynamique fulgurante observée chez les meilleurs memecoins. Même si son positionnement est beaucoup plus infrastructurel.Ici, pas de rumeur de portefeuille secret, mais un travail discret sur l’infrastructure et l’utilité.
Le token $HYPER à trois fonctions clés. Il sert d’abord à payer les frais de transaction sur le réseau. Cela crée une demande organique dès que l’activité en chaîne augmente. Il est également utilisé pour le staking, afin de sécuriser le protocole et de participer au consensus. En outre, il joue le rôle de jeton de gouvernance. Hyper donne donc à ses détenteurs un droit de vote sur les décisions majeures du projet. Ces différents usages sont d’ailleurs souvent mentionnés dans les analyses de prévision Bitcoin Hyper, car ils structurent la demande potentielle du token.
Ce triptyque crée un modèle de « double moteur » avec Bitcoin. Plus l’écosystème Bitcoin Hyper se développe, plus la demande en HYPER progresse. Par ailleurs, si l’adoption de BTC part à la hausse, les infrastructures qui facilitent son usage, dont Hyper, bénéficient mécaniquement de ce flux. Le succès de l’un nourrit celui de l’autre, dans un cercle vertueux qui nourrit les scénarios de performances extrêmes.