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Le débat sur “l’argent cash” devient très concret : à New York, un pilote financé par Coinbase verse l’équivalent de 12 000 $ à de jeunes adultes en USDC. L’intention derrière ce move est de vérifier sur le terrain, si des rails blockchain rendent l’aide plus rapide, plus lisible et plus utile pour les grosses dépenses (logement, formation, santé). L’expérience, menée avec GiveDirectly, mélange transferts simples sur smartphone, pédagogie crypto et suivi rigoureux des résultats.
Si ça fonctionne, on ne parle plus d’une promesse tech, mais d’un outil social mesurable. Si ça cale, on saura aussi pourquoi : friction d’onboarding, cash-out, cadre réglementaire. Place au test, chiffres à l’appui et focus sur deux cryptos reliées à l’expérience.
Que finance exactement Coinbase, et pour qui ?
We’re helping @GiveDirectly show how crypto and USDC can change the game for New Yorkers in need. pic.twitter.com/2R3jeLbva7
— Coinbase 🛡️ (@coinbase) October 2, 2025
Le programme “Future First” cible 160 jeunes adultes à faibles revenus. Chacun reçoit 12 000 $ en USDC : un premier versement conséquent, puis des dépôts échelonnés pour lisser la trésorerie. Le budget global annoncé avoisine 2,6 M $, avec un suivi d’impact réalisé par GiveDirectly (usage réel, satisfaction, sorties en monnaie fiat).
L’idée est de vérifier si un transfert on-chain peut améliorer des décisions de vie (caution d’appartement, formation, santé) tout en gardant des coûts et des délais maîtrisés.
Pourquoi payer en USDC plutôt qu’en dollars “banque classique” ?
Les stablecoins promettent des transferts rapides, 24/7, avec des frais comprimés et une traçabilité native. L’USDC, émis par Circle, est conçu pour être rachetable 1:1. Et surtout adossé à des réserves très liquides (cash, équivalents de trésorerie).
Pour Coinbase, c’est l’occasion de prouver que ces “dollars Internet” peuvent servir d’infrastructure sociale sans volatilité. Et in fine évaluer concrètement l’UX pour des publics parfois peu bancarisés. Reste la question du retrait en cash, des frais cachés et de la pédagogie.
Les zones d’ombre à guetter
À surveiller de près : la qualité de l’onboarding, la sécurité pour des primo-utilisateurs, la conversion vers des dollars bancaires avec des délais réellement constatés, ainsi que l’acceptation politique et réglementaire à New York. On se souvient aussi de l’épisode de dé-peg de l’USDC en 2023 lors de la crise SVB. Vite corrigé, mais qui rappelle que même un stablecoin n’est pas exempt de risques opérationnels.
Les premiers articles confirment l’architecture du pilote : 12 000 $ en USDC pour 160 bénéficiaires et un suivi d’impact dédié. C’est l’observation des usages, dans la durée, qui dira si ce format peut s’étendre.
Bitcoin Hyper ($HYPER) : un “Bitcoin plus pratique”, promesse séduisante, vigilance requise
Bitcoin Hyper assume ses ambitions. Une Layer 2 BTC qui exécute vite (en s’appuyant sur une VM de type Solana), puis règle la sécurité sur la couche 1 de Bitcoin. À la clé, des paiements plus fluides, des frais bas, et la possibilité d’apps plus “vivantes” autour de BTC (petite DeFi, dApps, micro-paiements). Dit autrement : garder la robustesse de Bitcoin, enlever les lenteurs du quotidien.
Acheter $HYPER revient donc à investir dans le nouveau carburant du Bitcoin (frais, accès à certaines fonctionnalités, incitations). Imaginez des paiements “à la vitesse d’une app” tout en conservant l’ancrage Bitcoin en arrière-plan.
Le projet est en phase de communication agressive et suscite des avis très contrastés en ligne, avec des alertes communautaires. Avant de s’enthousiasmer, vérifier les audits, l’équipe, la sécurité des ponts et l’existence de véritables apps. La prudence s’impose.
Best Wallet Token ($BEST) : un wallet qui met des avantages dans votre poche
Best Wallet Token vise le grand public : application non-custodial, multi-chaînes, achat/échange intégrés, et une carte de paiement annoncée. L’idée est simple à comprendre : vous gérez vos cryptos dans une seule app, vous pouvez échanger sans quitter l’interface, et le jeton $BEST ouvre des avantages (réductions de frais, accès anticipé à certains lancements, éventuel cashback avec la carte).
Pour un utilisateur, l’intérêt est moins “tech” que pratique. Avec une appli unique, des opérations rapides, et un jeton qui renforce l’écosystème si vous l’utilisez vraiment (staking, perks, événements).
Relier la valeur du token à des usages quotidiens tangibles plutôt qu’à de la spéculation pure. Un sacré pari. La trajectoire dépendra de la qualité de l’app (sécurité, support, UX) et du déploiement réel de la carte et du launchpad.
Conclusion
Ce pilote new-yorkais ne cherche pas à “théoriser” la crypto : il veut démontrer, usage par usage, si un dollar numérique peut simplifier la vie de publics fragiles. S’il réduit les frictions (réception, dépenses, retrait), la discussion basculera du “pour ou contre la crypto” vers “quelle mise en œuvre marche vraiment”.
De l’autre côté, l’écosystème avance. Et toute la lumière est désormais mise sur les nouvelles préventes memecoins. Des projets comme Bitcoin Hyper tentent de rendre BTC plus utilisable au quotidien et des apps orientées grand public, comme Best Wallet Token, misent sur des bénéfices concrets.
La suite ? De la pédagogie, de la sécurité, des preuves et des données. C’est exactement ce que ce test promet de livrer. À partir de là, on pourra parler de passage à l’échelle ou d’ajustements nécessaires.