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La Russie enclenche une légalisation ciblée de la crypto pour les paiements de commerce extérieur. Mais l’usage reste pour l’instant mesuré et encadré. Ce mouvement, pensé pour fluidifier les règlements transfrontaliers, s’inscrit dans une trajectoire réglementaire qui doit s’étoffer d’ici 2026.
Un cadre légal précis qui s’affirme, mais avance par paliers
Moscou a ouvert la voie via un régime juridique expérimental. L’objectif est de permettre d’utiliser des crypto-actifs pour régler des contrats de commerce extérieur. Le cadre ne vise pas les paiements domestiques, toujours interdits, mais cible bien les opérations hors frontières, sous contrôle du régulateur.
Un an plus tard, le message est nuancé. Le premier vice-gouverneur de la Banque de Russie, Vladimir Chistyukhin, constate que ces règlements en crypto existent, mais ne sont pas encore massifs. Les entreprises continuent d’employer d’autres circuits éprouvés, comptes correspondants, schémas d’agences, mécanismes de compensation, qui restent efficaces au quotidien. L’essor, selon lui, passera par une légalisation plus complète et des règles détaillées de conformité.
BREAKING 🚨
PUTIN TURNS BULLISH ON CRYPTO 📍
Russia introduces cross-border payments using the Tether Crypto stablecoin pic.twitter.com/0bfPif8T1a
— BITCOINLFG® (@bitcoinlfgo) December 9, 2023
La suite est déjà balisée. Le régulateur prévoit un corpus plus large, avec un dispositif d’agréments et un périmètre clarifié pour les acteurs, horizon 2026. Entre-temps, des régimes limités pour investisseurs “spécialement qualifiés” et des pilotes encadrés jalonnent la transition vers une normalisation plus nette.
Pourquoi la Russie organise la crypto hors frontières
Le mobile est pragmatique. Les sanctions et la frilosité de certains correspondants bancaires rendent les paiements transfrontaliers plus complexes. Dans ce cas, la crypto devient un outil de contournement opérationnel, à utiliser quand les rails classiques se grippent, sans prétendre remplacer l’intégralité des flux.
Des responsables russes ont d’ailleurs reconnu des usages de bitcoin et d’autres actifs pour le commerce international, avec l’idée d’élargir progressivement ces canaux au fil des ajustements législatifs. Mais l’acceptation par les contreparties étrangères reste déterminante, pays par pays, et dépendante de leurs propres règles.
À court terme, l’État veut éviter le tout-crypto. Le but est d’ajouter une corde à l’arc du règlement international, sous une infrastructure surveillée et des exigences de conformité renforcées, plutôt que de déréguler. D’où une montée en gamme graduelle, et non un grand soir monétaire.
PepeNode fait évoluer le P2E
Dans ce décor de crypto utilitaire et de cadres qui se structurent, le jeu compte aussi. PepeNode arrive avec une promesse simple de remettre le minage virtuel au centre, mais en jeu stratégique. Le projet crypto a déjà levé 1,96 million de dollars en ICO, aux portes du cap symbolique des 2 millions. Cet élan traduit un intérêt réel pour un P2E qui n’oblige plus à “grinder” des heures pour espérer une récompense.
Ici, pas de course au cash-out ni d’inflation de jetons sans contrepartie. Les joueurs prennent des décisions, choisir les bons nœuds, optimiser leur salle de minage virtuelle, améliorer leur installation et voient leurs gains évoluer à mesure que leur stratégie s’affine. Autrement dit, on troque la puissance d’achat contre l’intelligence d’allocation, exactement ce que le P2E devait devenir pour durer.

Le timing est calculé. Les jetons PEPENODE s’échangent à 0,0011227 dollar en prévente, avec une hausse programmée dans deux jours pour la prochaine phase. Ce tempo crée un repère clair pour les premiers soutiens qui veulent se positionner tôt, tout en rappelant que l’économie du jeu doit respirer et se construire dans la durée. L’objectif implicite est limpide : offrir au P2E un nouveau cycle fondé sur l’optimisation plutôt que sur l’extraction pure, avec l’une des meilleures cryptos à moins de 1 € du marché.
Le dossier russe se précise trimestre après trimestre, dans une logique d’encadrement plus que de ruée. Et le P2E, donné pour mort après la frénésie de 2021, revient par la stratégie et la finesse des mécanismes. Deux trajectoires différentes, une même idée en toile de fond : la crypto gagne quand elle résout un problème réel, qu’il s’agisse de payer au-delà des frontières ou de jouer sans brûler l’économie du jeu.