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Kiev appuie sur l’accélérateur. Le Parlement ukrainien vient de voter en première lecture une loi qui légalise les cryptos et encadre leur taxation. L’idée est simple : sortir le secteur de la zone grise, sécuriser les pratiques et attirer capitaux comme talents. Rien n’est encore gravé dans le marbre. Il reste à préciser le calendrier, la supervision (Banque centrale ou autorité des marchés) et les modalités concrètes. Mais le message est limpide : un cadre légal et fiscal net pour booster l’adoption. Le tout sans lâcher le contrôle sur les risques.
Ce que dit le texte : légalisation, taxation, supervision
La Rada vient de franchir un cap en adoptant en première lecture un projet de loi qui reconnaît les cryptos et organise leur taxation. Le schéma retenu pour l’instant : 18 % d’impôt + 5 % de prélèvement militaire sur les profits, avec un taux allégé de 5 % pour les conversions en fiat la première année. Le texte a été validé par 246 voix, signe d’un consensus politique sur le sujet.
Mais tout n’est pas encore verrouillé. Il reste à décider qui pilotera le marché (Banque nationale ou régulateur des marchés financiers) et à préciser les détails pratiques. Déclarations, seuils, exemptions. Une chose est sûre : l’Ukraine trace sa feuille de route, la mise en œuvre approche.
L’enjeu : moins d’ambiguïté, plus d’investisseurs locaux
Un cadre clair, ça change tout : moins d’incertitudes, plus de portes ouvertes avec les banques locales, et un signal net envoyé aux exchanges, fintechs et projets Web3. Les investisseurs y voient une sécurité juridique et des règles lisibles. l’État, lui, y gagne recettes fiscales et levier d’innovation.
Concrètement, attendez-vous à voir débarquer des pilotes, des tests grandeur nature et pas mal d’ajustements selon les retours du terrain. L’Ukraine veut attirer capitaux et talents, et elle compte bien le faire en posant des règles solides et transparentes.
Maxi Doge ($MAXI) : meme, staking et véritable projet
Maxi Doge assume son ADN meme : humour, viralité et ton décalé mais veut jouer sur la durée. Sa force, c’est une communauté déjà ultra-active, soutenue par du staking crypto, des campagnes régulières et des intégrations partenaires pour entretenir la dynamique. L’objectif est clair : transformer la traction sociale en vrai moteur d’adoption.
La prévente avance par paliers avec prix progressif. Les achats sont possibles en ETH, BNB, USDT, USDC ou même carte, et un claim est prévu à la fin. Des rumeurs évoquent des listings CEX/DEX et des partenariats en préparation, mais comme toujours, tout dépendra de l’exécution.
Le staking promet déjà des récompenses attractives pour les premiers arrivants, via un tableau de bord dédié. Bref, Maxi Doge veut prouver qu’un meme coin peut être structuré, à condition de tenir le rythme sur la sécurité, la liquidité et la communication produit.
Snorter Token ($SNORT) : entre viralité et utilité réelle
Snorter veut aller plus loin que le simple effet buzz : son cœur, c’est un bot Telegram pensé pour trader plus vite et plus sûr. Détection des honeypots, protection anti-rugpull, ordres limites, copy trading… l’outil veut devenir un vrai couteau suisse pour gérer ses tokens. Le jeton $SNORT, lui, sert de clé : staking, accès à des fonctions premium et rôle de gouvernance à travers l’un des meilleurs altcoins de l’année. L’ambition est claire : garder des utilisateurs actifs bien après le listing.
Côté mécanique, la prévente est ouverte via le site officiel, avec compatibilité Ethereum et Solana, et prise en charge des wallets MetaMask, Phantom ou Best Wallet. Paiement possible en ETH, SOL, USDT ou USDC. Les facteurs décisifs ? Une UX fluide, un bot stable, et surtout des audits sérieux. Les points à surveiller : calendrier TGE/claim, profondeur de la liquidité et régularité des updates. Comme toujours, prudence : mieux vaut vérifier les sources et les livrables plutôt que de se fier uniquement au bruit ambiant.
Conclusion
En légalisant et en taxant la crypto, l’Ukraine trace une ligne claire : oui à l’adoption, mais pas sans règles. Rien n’est encore définitif, mais le cap est posé : statut légal, fiscalité définie et obligations de conformité pour assainir le jeu. Le vrai test viendra avec les décrets d’application et la façon dont les règles seront mises en pratique sur le terrain.
Pour les projets, le message est limpide : en 2025, seules l’utilité et l’exécution compteront. Un memecoin organisé comme Maxi Doge ou un outil concret comme Snorter peuvent séduire, à condition d’apporter sécurité, liquidité et roadmap crédible. Les belles promesses ne suffisent plus : les équipes qui livrent vraiment feront la différence. L’Ukraine a ouvert la porte, reste à voir qui saura y entrer… et surtout y rester.